Tandis que l'expérience finale du Chief menace de reprogrammer la Réalité elle-même, le Candlemaker, né de l'esprit de Dorothy, poursuit ce qui reste de la Doom Patrol dans tous les plans de l'existence. La fin de toute chose semble être inéluctable ! A moins que l'équipe de super-héros la plus déjantée du monde ne possède plus d'un tour dans son sac…
Avec l'aide de l'encreur Stan Woch, Richard Case continue sur la lancée du TPB précédant et le résultat n'en est que plus appréciable. Si, dans les premiers recueils, le style de l'illustrateur pouvait sembler fade et plutôt banal, l'arrivée de Woch sur le titre (qui, contrairement à d'autres, a compris comment mettre les dessins de Case en valeur) amène une nouvelle dynamique à la partie graphique. En effet, la mise en commun du travail de ces deux artistes offre à la série une nouvelle jeunesse et entraine une notable évolution. Voilà qui permet de clore le run de Morrison sur une note plutôt positive !
Pour ce qui est du récit, le plus fou des scénaristes écossais fniti en beauté ! Après les révélations de l'avant-dernier recueil et le quasi-éclatement du groupe, Morrison va ici s'amuser à balader ce qui reste de nos héros entre réalité et fantasmes, entre rêves et cauchemars. Sans trop en dévoiler, on peut dire que ce dénouement explose tout et que Morrison n'hésite pas à malmener tout ce petit monde. Les développements de Cliff, Crazy Jane et Rebis sont menés à bien et l'auteur, tout en proposant une fin globale, va jusqu'au bout de ses concepts en terminant également les différentes sous-intrigues propres à ses personnages fétiches. Ainsi, ce recueil peut tout à fait être considéré comme une conclusion à la série. Evidemment il n'en sera rien, puisque Rachel Pollack succèdera à Grant Morrison à partir du #64…
Également disponible dans ce recueil, le numéro spécial Doom Force est une parodie à peine cachée du X-Force de Rob Liefeld. Compilant des planches de, entre autres, Steve Pugh, Walter Simonson, et bien évidemment Richard Case, cet épisode se moque allègrement du style imposé par le californien… Un pur régal !
Au final, Doom Patrol est, avec The Invisibles, un des meilleurs travaux de Morrison à ce jour. Et vu qu'il y a très peu de chance de le voir arriver un jour en VF, on ne saurait trop recommander la lecture de ces 6 TPB VO…
Avec l'aide de l'encreur Stan Woch, Richard Case continue sur la lancée du TPB précédant et le résultat n'en est que plus appréciable. Si, dans les premiers recueils, le style de l'illustrateur pouvait sembler fade et plutôt banal, l'arrivée de Woch sur le titre (qui, contrairement à d'autres, a compris comment mettre les dessins de Case en valeur) amène une nouvelle dynamique à la partie graphique. En effet, la mise en commun du travail de ces deux artistes offre à la série une nouvelle jeunesse et entraine une notable évolution. Voilà qui permet de clore le run de Morrison sur une note plutôt positive !
Pour ce qui est du récit, le plus fou des scénaristes écossais fniti en beauté ! Après les révélations de l'avant-dernier recueil et le quasi-éclatement du groupe, Morrison va ici s'amuser à balader ce qui reste de nos héros entre réalité et fantasmes, entre rêves et cauchemars. Sans trop en dévoiler, on peut dire que ce dénouement explose tout et que Morrison n'hésite pas à malmener tout ce petit monde. Les développements de Cliff, Crazy Jane et Rebis sont menés à bien et l'auteur, tout en proposant une fin globale, va jusqu'au bout de ses concepts en terminant également les différentes sous-intrigues propres à ses personnages fétiches. Ainsi, ce recueil peut tout à fait être considéré comme une conclusion à la série. Evidemment il n'en sera rien, puisque Rachel Pollack succèdera à Grant Morrison à partir du #64…
Également disponible dans ce recueil, le numéro spécial Doom Force est une parodie à peine cachée du X-Force de Rob Liefeld. Compilant des planches de, entre autres, Steve Pugh, Walter Simonson, et bien évidemment Richard Case, cet épisode se moque allègrement du style imposé par le californien… Un pur régal !
Au final, Doom Patrol est, avec The Invisibles, un des meilleurs travaux de Morrison à ce jour. Et vu qu'il y a très peu de chance de le voir arriver un jour en VF, on ne saurait trop recommander la lecture de ces 6 TPB VO…
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